A lire dans le Figaro, un article sur le malaise de la génération “ME ME ME” .
Placés sur un piédestal dans leur enfance, de nombreux jeunes adultes ont du mal à affronter déceptions et frustrations.
Marie, 21 ans, a plongé dans une dépression de quelques années parce que son petit copain l’avait quittée après trois mois de relation. Fille unique de parents âgés, elle considérait comme «inenvisageable» qu’on lui préfère une autre. Antoine, 27 ans, ne parvient pas à travailler en entreprise. Dès ses premiers postes d’informaticien, il s’est senti mis en danger quand un collègue obtenait de meilleurs résultats que lui. Sa mère ne lui avait-elle pas répété qu’il était «bien au-dessus des autres»?
Lire la suite…. http://bit.ly/1fUPX7I
Tout à fait exact et c’est une situation bien connue et ancienne.
Un souvenir de la fin des années 80:embauche chez Schneider de 15 jeunes cadres à fort potentiel avec de gros diplômes mais reçus comme tel par notre PDG J Vaujany : la principale erreur de Vaujany . Impossible de les former :ils savaient tout et n’écoutaient pas…peu .
Résultat AUCUN N’A FAIT CARRIÈRE